Cristiano Ronaldo já tem a Bola de Ouro: «É pesada, mas espectacular»
Extremo realiza «sonho de criança» perante a presença de Ferguson e da família.
Cristiano Ronaldo já recebeu a Bola de Ouro, troféu atribuído pela France Football, numa cerimónia transmitida pela Teléfoot.
O extremo do ManUtd esteve esta manhã em Paris, acompanhado do treinador Alex Ferguson e de alguns familiares.
«É pesada, mas espectacular», apontou o internacional luso em relação ao galardão, que premeia o melhor futebolista do ano. Ronaldo mostrou-se comovido com a distinção, que é a realização de «um sonho de criança», voltando a insistir na ideia de que não pretende ficar por aqui. O jogador pode receber ainda o prémio da FIFA, mas quer ganhar mais troféus, colectivos e individuais, durante a sua carreira.
A cerimónia contou com a presença de muitos jornalistas e figuras ilustres do futebol. Aqueles que não puderam marcar presença fizeram-no através de testemunhos gravados em vídeo, casos de Scolari e Figo.
«É pesada, mas espectacular», apontou o internacional luso em relação ao galardão, que premeia o melhor futebolista do ano. Ronaldo mostrou-se comovido com a distinção, que é a realização de «um sonho de criança», voltando a insistir na ideia de que não pretende ficar por aqui. O jogador pode receber ainda o prémio da FIFA, mas quer ganhar mais troféus, colectivos e individuais, durante a sua carreira.
A cerimónia contou com a presença de muitos jornalistas e figuras ilustres do futebol. Aqueles que não puderam marcar presença fizeram-no através de testemunhos gravados em vídeo, casos de Scolari e Figo.
Après une arrivée sur les chapeaux de roue ce matin, le nouveau Ballon d'Or France Football a pu se saisir de son trophée, dans les studios de TF1. Il profite en ce moment de la capitale française. Coulisses d'une journée chargée... d'or. (Photo Presse-Sports)
Paris nappé de brouillard en cette aube dominicale. Au-dessus de l'aéroport du Bourget tournoie un avion privé. Jet privé pour jet-set. Bolide des airs siglé Manchester United pour fusée à réaction avec ballon. A terre, Cristiano Ronaldo accélère et dribble à sa guise. Ici, au nord de la capitale française, en altitude, le Ballon d'Or FF ne peut rien contre la météo. Atterrissage retardé. On tourne... Il faut bien toucher le sol. Décision est prise : jet détourné. Vers Roissy Charles De Gaulle. Les trains touchent enfin le tarmac. Où est le van qui doit le porter jusqu'à TF1 ? A un autre terminal ! Barrages à passer, douanes à franchir, autorisations à signer. Enfin, CR7 monte dans la voiture. Vite... Téléfoot a débuté. Deux motards de la gendarmerie nationale abaissent la visière. Direction : Boulogne. Haute vitesse sur autoroute, coups d'accélérateur sur le périph'... Vite ! Plus vite ! Très vite.
La fierté de Ferguson
Enfin, Ronaldo sur le plateau. Il voit la boule toute dorée qui scintille sous les projecteurs. Cet objet du désir. Ce Ballon d'Or. Un logo dessus, retraçant cinquante ans d'histoire, un demi-siècle d'Histoires : France Football. Lui le numéro 7 dans la légende, le quatrième lauréat de Manchester United, le premier des Red Devils depuis Best, en 1968. Lui le Portugais dans la lignée, après Eusebio (1966) et Figo (2000). Dolores, sa mère de Madère, sort des bancs du public pour l'embrasser. « Maman vivait en France il y a 33 ans. De votre langue, elle ne sait dire que les jours de la semaine, du lundi au vendredi, car ces jours-là, elle travaillait. Elle ne faisait que travailler » dit Ronaldo, 23 ans, qui ancre sa joie dans sa famille réunie autour de lui. Sir Alex Ferguson, à ses côtés, dit sa fierté. Séance photo, conférence de presse internationale. Puis départ pour un déjeuner au Plaza Athénée. Devant la Tour TF1, une cinquante de personne salue le lauréat. Paris s'ouvre au 53e Ballon d'Or France Football... Welcome to the City of lights. Bemvindo, Senhor Ronaldo.
Paris nappé de brouillard en cette aube dominicale. Au-dessus de l'aéroport du Bourget tournoie un avion privé. Jet privé pour jet-set. Bolide des airs siglé Manchester United pour fusée à réaction avec ballon. A terre, Cristiano Ronaldo accélère et dribble à sa guise. Ici, au nord de la capitale française, en altitude, le Ballon d'Or FF ne peut rien contre la météo. Atterrissage retardé. On tourne... Il faut bien toucher le sol. Décision est prise : jet détourné. Vers Roissy Charles De Gaulle. Les trains touchent enfin le tarmac. Où est le van qui doit le porter jusqu'à TF1 ? A un autre terminal ! Barrages à passer, douanes à franchir, autorisations à signer. Enfin, CR7 monte dans la voiture. Vite... Téléfoot a débuté. Deux motards de la gendarmerie nationale abaissent la visière. Direction : Boulogne. Haute vitesse sur autoroute, coups d'accélérateur sur le périph'... Vite ! Plus vite ! Très vite.
La fierté de Ferguson
Enfin, Ronaldo sur le plateau. Il voit la boule toute dorée qui scintille sous les projecteurs. Cet objet du désir. Ce Ballon d'Or. Un logo dessus, retraçant cinquante ans d'histoire, un demi-siècle d'Histoires : France Football. Lui le numéro 7 dans la légende, le quatrième lauréat de Manchester United, le premier des Red Devils depuis Best, en 1968. Lui le Portugais dans la lignée, après Eusebio (1966) et Figo (2000). Dolores, sa mère de Madère, sort des bancs du public pour l'embrasser. « Maman vivait en France il y a 33 ans. De votre langue, elle ne sait dire que les jours de la semaine, du lundi au vendredi, car ces jours-là, elle travaillait. Elle ne faisait que travailler » dit Ronaldo, 23 ans, qui ancre sa joie dans sa famille réunie autour de lui. Sir Alex Ferguson, à ses côtés, dit sa fierté. Séance photo, conférence de presse internationale. Puis départ pour un déjeuner au Plaza Athénée. Devant la Tour TF1, une cinquante de personne salue le lauréat. Paris s'ouvre au 53e Ballon d'Or France Football... Welcome to the City of lights. Bemvindo, Senhor Ronaldo.
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